Le Trochiscanthe nodiflore [TN] n°435 (2014-36)

mardi 16 septembre 2014

"Lettre hebdomadaire" du site "Rencontres Sauvages"
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GF Haendel - Triomphe du Temps et de la Désillusion

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Fleurs
des champs, des bois et de montagne
Haut-Doubs et Suisse
printemps et été 2014


Orchis mâle
  Bouverans (Haut-Doubs)
  samedi 24 mai 2014

Salsifis des prés - Tragopogon pratensis
 Bouverans (Haut-Doubs)
  samedi 24 mai 2014

Aubépine
Bouverans (Haut-Doubs)
samedi 24 mai 2014

Frêne
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Géranium des bois - Geranium sylvaticum
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Iris faux-acore - Iris pseudacorus L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Coquelicot - Papaver rhoeas L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Polémoine bleue - Polemonium caeruleum L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Iris faux-acore - Iris pseudacorus L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Polémoine bleue (à fleurs blanches) - Polemonium caeruleum L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 8 juin 2014

Sureau noir - Sambucus nigra L.
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 15 juin 2014

Sureau noir - Sambucus nigra L.
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 15 juin 2014

Ombellifère
Courvières (Haut-Doubs)
dimanche 15 juin 2014

Jonc
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)

dimanche 22 juin 2014

Ombre du feuillage d'un Hêtre dans le cours d'eau de la "Source Bleue"
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 22 juin 2014

Nénuphar jaune - Nuphar lutea
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
dimanche 22 juin 2014

Séneçon jacobée - Senecio jacobaea L.
Courvières (Haut-Doubs)
mardi 15 juillet 2014

Arrête-Boeuf (ou Bugrane épineuse) - Ononis spinosa L.
Courvières (Haut-Doubs)
mardi 15 juillet 2014

Lis martagon - Lilium martagon L.
Courvières (Haut-Doubs)
mardi 15 juillet 2014

Berce des prés - Heracleum sphondylium L.
Courvières (Haut-Doubs)
mardi 15 juillet 2014

Ortie dioïque - Urtica dioica L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Valériane officinale - Valeriana officinalis L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014


Angélique sauvage - Angelica sylvestris L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Epilobe à feuilles étroites - Epilobium angustifolium L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Eglantier
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Hêtre
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Angélique sauvage - Angelica sylvestris L.
Lac de Saint-Point (Haut-Doubs)
mercredi 23 juillet 2014

Origan - Origonum vulgare L.
La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
jeudi 24 juillet 2014

Orpin blanc - Sedum album L.
(c'est sur cette plante que se développe la chenille
de l'Apollon... j'en reparlerai !)

La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
jeudi 24 juillet 2014

Salsifis sp. en fruit
La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
jeudi 24 juillet 2014

Champ de Berce des prés
(avant les regains !)

Courvières (Haut-Doubs)
samedi 26 juillet 2014

Millepertuis de Richer - Hypericum richerii Villars.
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Millepertuis de Richer - Hypericum richerii Villars.
détail de la fleur et rosée...

Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Epipactis pourpre noirâtre - Epipactis atrorubens
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Aconit napel - Aconitum napellus L.
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Campanule agglomérée - Campanula glomerata L.
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Silène enflée - Silene vulgaris
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Marguerite
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014


Campanule sp.
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)

dimanche 27 juillet 2014

Grande Astrance - Astrantia major L.
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Fruit de la Pulsatille des Alpes (sous la pluie !)
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Nigritelle - Nigritella nigra
Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Grassette - Pinguiculla vulgaris L.
(plante carnivore !)

Réserve des Dénériaz - le Chasseron (Suisse)
dimanche 27 juillet 2014

Cirse commune - Cirsium vulgare
Courvières (Haut-Doubs)
jeudi 31 juillet 2014


Feuilles d'Iris
La Rivière-Drugeon (Haut-Doubs)
dimanche 17 août 2014


Oeillet superbe - Dianthus superbus L.
Bouverans (Haut-Doubs)
dimanche 17 août 2014


Ortie
Bouverans (Haut-Doubs)
dimanche 17 août 2014


Graminées
La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
samedi 30 août 2014

Ombellifère
La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
samedi 30 août 2014

La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
samedi 30 août 2014

Campanule
La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
samedi 30 août 2014

La Cluse et Mijoux (Haut-Doubs)
samedi 30 août 2014

Pissenlit en fruit
 
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 6 septembre 2014

Silene enflée
 
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 6 septembre 2014

Seneçon jacobée
 
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 6 septembre 2014

Marguerite
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 6 septembre 2014

Ombellifère
 
Courvières (Haut-Doubs)
samedi 6 septembre 2014

Fruit
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Campanule agglomérée
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Reine des Alpes - Eryngium alpinum L.
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

C'est la première fois que j'en observe au Creux du Van !!

Fruit du Lis martagon
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Carline acaule
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Gentiane d'Allemagne
Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014

Creux du Van (Suisse)
dimanche 7 septembre 2014



Petit texte :

"Les plantes et la lune : traditions et phénomènes


« A l'occasion de la réunion annuelle de la société suisse des sciences naturelles, tenue à Lucerne en 1834, le géologue [d'origine allemande] Jean de Charpentier – un défenseur de la théorie moderne des glaciations – put aller présenter les résultats de ses travaux. En route pour rejoindre cette société savante, il entra en conversation près du col du Brünig avec un bûcheron de Meiringen. Lorsque celui-ci vit l'étranger examiner un bloc de granit couché près du chemin, il lui dit : « Il y a beaucoup de pierres telles que celle-ci dans ces hauteurs, mais elles viennent de très loin, du massif du Grimsel ; car c'est du Geissberger [un type de roche], et les montagnes d'ici n'en sont pas. » A la question sur la manière dont ces pierres auraient pu parvenir jusqu'en cet endroit, le montagnard répondit sans hésitation : « C'est le glacier du Grimsel qui les a amenées, car celui-ci s'étendait une fois jusqu'à la ville de Berne ; ce n'est pas l'eau qui aurait pu déposer ici, aussi loin du fond de la vallée. » Quelle rencontre ! Le célèbre professeur, avec sa conférence sur la théorie des glaciations dans sa sacoche, entend formuler par un bûcheron resté sans nom, avec la plus grande évidence, des faits au sujet desquels les érudits se disputeront encore pendant des années avant qu'ils ne diviennent un élément du patimoine scientifique mondial. »

E. Gerber et K.L. Schmalz (1948)


Croissance des arbres et propriétés du bois : rythmes et traditions

La plupart des processus organiques – et des structures qui en résultent – présentent un caractère rythmique. Ainsi, les arbres sont caractérisés par une croissance rythmique faite de phases d'activité et de phases de repos. Cette forme de croissance ne s'exprime pas seulement lorsque le milieu est soumis à des variations saisonnières, mais également losqu'il offre des conditions pratiquement constantes, comme c'est le cas dans les zones équatoriales par exemple. Des variations rythmiques s'observent à presque tous les stades du développement, de la germination à la formation des graines. Cette alternance systématique entre des phases d'activité et d'autres de repos se manifeste aussi à travers la morphologie des pousses ou l'architecture de la couronne et, au niveau anatomique, dans la succession et la structure interne des cernes d'accroissement.

La question se pose de la cause et de la nature de ces rythmicités : s'agit-il simplement d'une interaction entre l'effet journalier et l'effet saisonnier du Soleil et des « mécanismes » endogènes propres à l'organisme ? Ne pourrait-il s'agir aussi d'autres formes de connexion des plantes avec des mouvements célestes, en particulier ceux de la Lune ?

Pour pouvoir survivre, l'homme, en tant qu'être hétérotrophe (utilisant la matière d'autres organismes comme nourriture), a toujours dû tenir compte de ce caractère rythmique des plantes. Lorsqu'on consulte des ouvrages se rapportant aux coutumes populaires et aux règles paysannes, qu'on lit des témoignages d'auteurs anciens (tel Hésiode, poète grec du VIIIè siècle av. J.-C., auteur de Les Travaux et les Jours), ou encore qu'on discute de leur expérience empirique avec des jardiniers, des paysans, des bûcherons ou des artisants travaillant le bois, deux constatations s'imposent :

  • en plus du rythme des saisons, qui est de nature solaire du point de vue géocentrique, ces sources et ces personnes évoquent systématiquement les cycles lunaires comme facteur influençant la croissance, les structures, les propriétés et même certaines qualités des plantes ;

  • les déclarations à ce sujet sont souvent concordantes malgré l'éloignement géographique de leurs auteurs.

Ce deuxième constat semble indiquer l'existence de faits objectifs. Ainsi, les règles générales concernant l'abattage d'arbres concordent puisqu'elles mentionnent le facteur Lune aussi bien dans la zone alpine qu'au Proche-Orient, en Inde, à Ceylan, au Brésil ou encore en Guyane, en Corée ou en Finlande. Toutes ces traditions paraissent reposer sur des observations similaires : par exemple, la période de la nouvelle Lune (ou de la Lune décroissante) est considérée comme la plus favorable pour l'abattage d'arbres donnant un bois de construction durable, résistant aux insectes et aux champignons. Une « phytopratique » allant dans ce sens concerne la période de plantation de boutures en Amérique centrale, concidérée comme optimale en Lune décroissante.

A ce sujet, il faut aussi relever le fait qu'autrefois l'homme pouvait se consacrer plus longtemps et plus calmement à l'observation. Celle-ci devait même être pour lui, alors que l'existence était plus précaire qu'aujourd'hui, d'une importance vitale. Jusqu'à récemment, aucune machine, aucun processus d'automatisation ne s'interposait entre l'homme et l'objet de son travail, ce qui lui permettait probablement d'affiner à l'extrême sa perception qualitative.

Une part de superstition est vraisemblablement venue s'ajouter dès que l'observation précise et objective a été délaissée au profit de l'adoption aveugle de règles traditionnelles. Le passage de la transmission orale au texte écrit a peut-être aussi apporté quelques distorsions.

Trois types de règles forestières

Pour la détermination de la « bonne date d'abattage », on constate dans les relevés historiques ou dans les mentions orales actuelles trois types de règles :

  • les règles selon les « phases de la lune », soit le rythme lunaire synodique, dont la période est de 29,531 jours. Ce rythme mesure le passage d'une nouvelle Lune à la pleine Lune (phase « croissante ») pour parvenir à la nouvelle Lune suivante (phase « décroissante ») (fig 1). A l'échelle journalière, il s'observe dans le mouvement des marées, dont la période principale est de 24,8 heures – mais ce mouvement n'est que rarement mentionné dans les traditions. Le seul cas actuellement connu concerne la coupe du bambou Phyllostachys aurea (Carr.) M. Riv., en Equateur : afin de déterminer les heures de marée basse favorables à la conservation du bambou, les paysans de l'intérieur des terres coupent une « liane à eau » qui, à ces moments précis, ne montrerait aucune exsudation (Moran Ubidia, 2003) ;

  • les règles selon le cycle de la « Lune montante » et de la « Lune descendante » par rapport à l'horizon terrestre, soit le rythme lunaire tropique.

    Ce rythme, moins visible pour l'observateur concerne la hauteur de la trajectoire lunaire par rapport à l'horizon, variant de façon systématique. Chaque année, à treize ou quatorze reprises, la hauteur de cette trajectoire augmente, puis la tendance s'inverse pour la seconde moitié du mois tropique, dont la période est de 27,32158 jours. Une confusion est possible : l'expression « Lune montante/descendante » est parfois utilisée pour « Lune croissante/décroissante », alors que les périodes de ces deux cycles diffèrent de 2,21 jours. Ces deux rythmes coïncident toujours vers la fin décembre, la pleine Lune ou la nouvelle Lune ayant lieu respectivement au passage culminant ou au passage le plus bas de la trajectoire tropique ;

  • les règles selon les constellations, ou « signes » du zodiaque, dans lesquelles se trouve la Lune. C'est un troisième niveau d'influence, cité depuis toujours, certains documents, comme les écrits manichéens, remontant à l'époque perse (Schmidt, 1940). Ce rythme lunaire sidéral, dont la période est très proche de celle du rythme tropique, se rapporte aux constellations du zodiaque devant lesquelles la Lune passe durant sa révolution autour de la Terre. Le retour à une constellation donnée a lieu après 27,32166 jours. Une source d'erreur dans le long terme provient du fait que les constellations astronomiques observées à une date donnée de l'année varient insensiblement en raison du lent mouvement giratoire (précession) de l'axe de la Terre.

Des pratiques encore bien vivantes

Aujourd'hui encore, des règles d'abattage liées à la Lune sont appliquées par certains artisans du bois. Notre objectif n'est pas de traiter des multiples « calendriers », actuellement très en vogue, couvrant de nombreux domaines de façon trop absolue, sans bases expérimentales. Les exemples qui suivent concernent des cas directement connus de l'auteur, ou issus de sources scientifiquement vérifiées ; ils visent à illustrer toute la variété des utilisations du bois dans lesquelles le facteur Lune est considéré comme important pour l'obtention de qualités ou de propriétés exceptionnelles. Il faut préciser que, dans la plupart des cas, ce facteur ne vient qu'en deuxième ou troisième position, après la période de l'année, avec une haute valeur attribuée au « bois d'hiver », et le site, c'est-à-dire les conditions de croissance, le bois de montagne issu de peuplements naturels à croissance lente étant particulièrement apprécié. Parfois, il est fait mention de vents (par exemple le foehn dans les Alpes) qui auraient un effet négatif sur certaines qualités du bois.

Bois de construction

Les qualités principales requises ici sont la résistance mécanique (en contrainte de pression, traction ou flexion) et la durabilité face aux champignons et aux insectes. Une règle française stipule : « Bois tendre en cours, bois dur en décours ».

Bardeaux et tavillons [tavaillons]

Il s'agit de planchettes de différentes dimensions utilisées comme des tuiles pour couvrir des toits ou des façades, ce qui les expose particulièrement aux intempéries et donc à la pourriture. Le type de bois approprié ne peut être fourni que par des essences ayant fait leurs preuves, comme le chêne, le châtaignier ou le mélèze. Citons également l'épicéa et le sapin, que certains tavillonneurs abattent à des phases lunaires particulières afin d'obtenir un matériau séchant rapidement après chaque pluie.

Cheminées

Dans certaines régions d'Europe centrale, le bois a même longtemps été utilisé pour la construction de cheminées, qui servaient également à fumer la viande. Pour cet usage aussi il se trouve des règles d'abattage « lunaires » supposées fournir du bois difficilement inflammable.

Bois de feu

Encore couramment appliquée, dans le Jura par exemple, la règle mentionnée par Olivier de Serres (1600) conseille : « Le poinct de la lune est remarquable, pour en croissant tailler le bois de chauffage, et en décours, celui des bastimens. » On notera qu'il s'agit dans ce cas d'obtenir une bonne combustibilité plutôt qu'une grande dureté ou une forte résistance aux agents de destruction.

Bois de résonnance

Jusque dans la plus prestigieuse forme d'utilisation comme « bois de résonnance » pour la construction de violons, de guitares ou de pianos, la date d'abattage en fonction de la Lune constitue l'un des secrets de l'art de maint luthier.

Fûts et barriques

Selon les observations des artisans, les douves de chêne les plus étanches ne s'obtiennent pas à n'importe quelle saison de l'année ni à n'importe quelle phase de la Lune.

Bambous

Des traditions largement répandues en Amérique du Sud (Colombie, Equateur, Brésil) ainsi qu'en Inde font appel au calendrier lunaire pour couper des bambous (Graminées géantes) afin qu'ils soient capables de résister aux insectes ravageurs.

Flottage

Plusieurs sources traditionnelles indépendantes mentionnent le fait que non seulement les propriétés du bois, mais aussi la façon dont les grumes vont flotter sur les rivières varient selon les périodes de la Lune..."

Ernst Zürcher - Aux Origines des Plantes
(Francis Hallé)



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